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  • Entreprise
  • Questions générales
15 mars 2024
01

Management fees : la messe n’est pas dite

AUTEURS

  • Florence DEBOISSY
    Professeur à l’Université de Bordeaux
    Co-directrice scientifique de la revue Ingénierie Patrimoniale
    En savoir plus

  • Guillaume WICKER
    Professeur à l’Université de Bordeaux
    Co-directeur scientifique de la revue Ingénierie Patrimoniale
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#Revue: IP, 2-2024, Avril 2024

#Typeart: Éditorial

#Date: 15 mars 2024

#Rubrique, ss-rubrique: Entreprise, Questions générales

#Mots-clés: Société, Direction, dirigeant, rémunération, convention de management, management fees, acte anormal de gestion, nullité

#Num art: 01

#Titre: Management fees : la messe n’est pas dite#

#Auteur: Florence¤ DEBOISSY

#Qualités: Professeur à l’Université de Bordeaux

#Qualités: Co-directrice scientifique de la revue Ingénierie Patrimoniale

#Auteur: Guillaume¤ WICKER

#Qualités: Professeur à l’Université de Bordeaux

#Qualités: Co-directeur scientifique de la revue Ingénierie Patrimoniale

 

Est-il possible pour un dirigeant de confier les tâches qui lui incombent par le jeu d’une convention de management conclue avec une société dont il est lui-même le dirigeant et le principal, voire l’unique associé ? À cette question, la Cour de cassation a répondu à deux reprises par la négative en retenant la nullité de telles conventions dans la mesure où, faisant double emploi avec les fonctions de dirigeant, elle n’assurait à la société aucune contrepartie réelle1. Du droit des contrats au droit fiscal, il pouvait sembler que la conclusion d’une telle convention de management, en raison de sa nullité, aurait constitué ...

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